Atelier d'écriture : Morning Pages
Parmi les rituels de créativité les plus inspirants figurent les “Morning Pages” de Julia Cameron, détaillé dans son livre culte, The Artist’s Way. Le concept ? Produire trois pages d’écriture automatique chaque matin, comme un flot de pensées que l’on déverse sur son cahier. Pattes de mouches et fautes d’orthographe bienvenues, de toute façon, l’idée n’est pas de se relire mais de bosser son muscle créatif et son imaginaire. Amandine Péchiodat vous guide dans cet exercice d’écriture, et vous accompagne pour trouver la cafetière et l’inspiration, même (surtout) encore peu réveillés. De quoi dérouiller votre cerveau au réveil et lancer de plus belles journées.
Le professeur

Amandine Péchiodat est cofondatrice et rédactrice en chef de My Little Paris. 14 ans qu’elle écrit des livres, des news, et à chaque fois qu’elle prend la plume, elle remet les compteurs à zéro. Chaque jour, elle écrit à des millions de femmes via ses médias. Les mots, elle connaît. La panne d’inspi aussi. Les doutes, carrément. Mais ce qu’elle sait maintenant, c’est comment les surmonter.
Matériel
Old school (papier-crayon) ou pas, comme vous voulez
Ce que vous aurez appris à la fin du cours
"Il y a deux moments dans l'écriture : le moment créateur où on lâche le flot de ses idées et le moment critique où on amène de la cohérence". Amandine Péchiodat vous propose un atelier où l'important n'est pas de s'exercer à l'écriture, mais d'apprendre à faire de la place au reste.
Ce qu'en ont pensé les élèves
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ “Merci pour cet atelier qui m’a transpercé par sa réalité. Je me couche avec une idée d’écriture, je me réveille me matin avec une autre et je chamboule les mots de la veille” - Alice
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ “Merci beaucoup, cet atelier m’a redonné l’envie d’écrire” - Claire
La story business
Le point commun entre Ernest Hemingway et Stephen King ? Le matin. Hemingway se mettait à écrire le plus tôt possible, au lever du soleil : "Il n'y a personne pour vous déranger (...) alors on se met à écrire et on se laisse entraîner par son travail". Pour Stephen King, il était hors de question de s'arrêter avant d'avoir rempli son quota de huit pages dans la matinée.